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Bilan de campagne colza 2010 « L’implantation reste le facteur clé »

Jean-Pierre Palleau du Cetiom livre son analyse de la campagne colza qui s’achève et met l’accent sur l’importance de la qualité de l’implantation qui permet de supporter les aléas climatiques et d’obtenir les meilleurs rendements. Les commentaires sur le comportement des variétés testées dans les réseaux d’essais accompagnent ce bilan.

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« Un colza bien implanté, c'est le potentiel assuré. »
(© Terre-net Média)

La moyenne nationale des rendements de colza d’hiver, autour de 32 q/ha pour cette campagne, en baisse de 5 q/ha par rapport à 2009, masque une grande disparité. Au-delà d’un phénomène régional, Jean-Pierre Palleau constate une variabilité parcellaire avec des résultats s’affichant entre 20 et 40 q/ha dans les régions du nord. « Les conditions difficiles de l’année montrent une nouvelle fois que la qualité de l’implantation est primordiale », constate-t-il. « Les colzas bien implantés supportent mieux des conditions climatiques contrastées. Ils donnent d’ailleurs les meilleurs rendements, parfois supérieurs à 45 q/ha. » De même, le type de sol structure bien les rendements. « On observe une différence de 4-5 q/ha, voire plus, entre les sols superficiels et profonds. »

Retrouvez l’intégralité du bilan de la campagne 2009-2010 de colza d’hiver et les commentaires sur les variétés testées cette année par le Cetiom derrière ce lien : bilan de campagne colza 2009-2010, Cetiom.

(Cliquez sur l'image pour accéder au dossier) (© Terre-net Média)

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